Oeuvres

Série Bleu Marseille

Bleu de la mer ou bleu du ciel, bleu pâle, bleu électrique, Majorelle, Klein ou lavande, Paul Louis Léger s’empare dans cette série tous les bleus de Marseille pour mettre en scène des paysages urbains poétiques et apaisants. En assemblant plusieurs négatifs du même point de vue (des images nettes, des images floues) il fabrique une texture délicate et impressionniste.

Accumulations

Ici, Paul Louis Léger joue sur l’effet conjoint de la répétition et de la distorsion. Des baigneurs, des poissons, des bébés, multiples et pourtant différents, sont mis en scène de façon parfois dérangeante. La photo des baigneurs marseillais a été sélectionnée pour faire la couverture du programme officiel du J1 pour Marseille Capitale Culturelle de la Culture.

Accumulations

Ici, Paul Louis Léger joue sur l’effet conjoint de la répétition et de la distorsion. Des baigneurs, des poissons, des bébés, multiples et pourtant différents, sont mis en scène de façon parfois dérangeante. La photo des baigneurs marseillais a été sélectionnée pour faire la couverture du programme officiel du J1 pour Marseille Capitale Culturelle de la Culture

Kalachnikov

Les lieux des règlements de compte à Marseille en 2012 sont étonnamment calmes après la violence et le sang. En bas de l’image une date, comme celle qui s’imprimait sur les tirages que l’on commandait chez le photographe de quartier. Un lieu, une date, des vies qui s’achèvent. Comment, pourquoi ? On ne le saura jamais vraiment.

Kalachnikov

Les lieux des règlements de compte à Marseille en 2012 sont étonnamment calmes après la violence et le sang. En bas de l’image une date, comme celle qui s’imprimait sur les tirages que l’on commandait chez le photographe de quartier. Un lieu, une date, des vies qui s’achèvent. Comment, pourquoi ? On ne le saura jamais vraiment.

Kalachnikov

Les lieux des règlements de compte à Marseille en 2012 sont étonnamment calmes après la violence et le sang. En bas de l’image une date, comme celle qui s’imprimait sur les tirages que l’on commandait chez le photographe de quartier. Un lieu, une date, des vies qui s’achèvent. Comment, pourquoi ? On ne le saura jamais vraiment.