UOYEVOLI (Catch me if you can)
    Vanessa Dakinsky + follow

    UOYEVOLI (Catch me if you can)

    Huile sur toile
    70
    x 70 cm

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    A propos Vanessa Dakinsky :

    Née en 1985. Vanessa Dakinsky a travaillé successivement à Toulouse et Rennes. Elle est à présent basée à Milan en Italie.

    Vanessa Dakinsky travaille principalement la peinture à l’huile. Son style naît à la fois d’une énergie autodidacte et d’un apprentissage au long cours des techniques traditionnelles des anciens maîtres.

    Vanessa Dakinsky - Galerie d'art de Francony

    Alimenté par un large éventail d’inspiration,  de la psychologie en passant par la pop culture, son univers, concentré sur la figure humaine, nous porte entre un réalisme sensible et une aventure onirique.

    Loin d’être scotchée à une représentation littérale, la forte présence visuelle du corps humain crée une intimité immédiate avec les sujets. Dans notre environnement saturés d’écrans et de miroirs magiques, comment notre perception se construit elle, comment  apprivoise t-on notre récente ubiquité?

    Vanessa Dakinsky - Galerie d'art de Francony

    Cette oscillation entre expansion et résistance, ludique ou exigeante, explore les nouvelles alchimies de l’être humain à l’ère numérique.

    Les énigmes ancestrales de l’homme côtoient ainsi une virtualité rendue sensible , et questionnent les nouvelles façons pour nos imaginations et nos corps d’être présents.

    Depuis 2013 le travail de Vanessa Dakinsky s'ouvre à l'international au travers d’expositions personnelles et collective en France, Angleterre, Allemagne, Norvège, Canada...

    Vanessa Dakinsky - Galerie d'art de Francony




    Réalité augmentée, par Baptise Ostré
    (portrait réalisé dans le magazine Clutch de décembre 2014)
    http://www.clutchmag.fr/


    La lumière inonde l’atelier de Vanessa Dakinsky, dont les murs et le sol sont recouverts de papier tacheté de peinture. Installée dans son appartement, la pièce contient plusieurs créations en cours d’achèvement. « Je travaille toujours sur différents tableaux en même temps » explique-t-elle. Pas par besoin d’être sur différents projets à la fois, mais surtout en raison de la peinture à l’huile, technique demandant 2 à 3 semaines de séchage. « Il me faut un peu plus d’un mois pour obtenir un tableau, d’autant que je travaille par couches, en superposant des calques comme des associations d’idées ».

    (...) Une dominante urbaine que l’on retrouve chez elle dans une utilisation fréquente de la lumière artificielle. « La lumière de la ville est très vivante » confirme- t-elle, « c’est quelque-chose qui me parle beaucoup ». Ce côté vital est appuyé par la peinture à l’huile, favorisant une précision des couleurs, une qualité de teintes permettant une fine retranscription des chairs. Photoréaliste ? Assurément, d’autant qu’une photo - prise dans l’instant -, est souvent à la base de ses peintures. Mais elle ne se contente pas de ce simple tour de force. L’attention portée à la dynamique et l’énergie de son approche procurent un décalage léger mais essentiel. Un vacillement surréaliste : comme le basculement du familier à l’étrange.

    Baptiste Ostre





    Fantasmagorie du réel
    Interview Boum! Bang!  Julie Martinelli May 2012
    www.boumbang.com


    Vanessa Dakinsky est peintre, elle vit et travaille aujourd’hui dans son atelier à Toulouse. Du haut de ses 27 ans, elle s’affirme dans une pratique artistique autodidacte et explore à travers le prisme de la peinture des espaces indéfinis où chimères et réalités s’entremêlent. Ses toiles trouvent des mythologies contemporaines dans les anecdotes du quotidien. Des éléments contradictoires cohabitent et s’y rencontrent.​

    Foisonnante, surréaliste et parfois bizarre la peinture de Vanessa Dakinsky nous transporte dans un espace onirique et mystérieux centré sur la perception intime. L’extravagance de ses constructions picturales nous a conduit à contacter Vanessa Dakinsky qui a accepté de se prêter au jeu de l’interview pour Boum! Bang!.


    - B!B!: Comment as-tu pris goût à la peinture ?

    - VD: J’ai toujours aimé bricoler, inventer des choses inutiles. J’ai commencé par des dessins, et comme tous les enfants qui s’ennuient en cours, j’ai continué. La peinture est venue assez tard, vers 15-16 ans.

    - B!B!: Le cahier de l’écolier qui s’ennuie est une merveilleuse école d’art spontanée. Il faudrait rendre hommage au marges des pages.


    Oui ! et je viens d’un milieu qui n’a rien à voir avec le monde de l’art. J’ai voulu entrer dans une école, à l’époque c’était la mode de l’académisme minimaliste, de l’art conceptuel. Il n’y en avait que pour cette branche et tout ce qui en sortait était franchement considéré comme « déviant ». Le point positif c’est que ça m’a obligée à me situer de façon plus fine, et aussi plus affirmée.

    Ensuite j’ai dessiné en dilettante en retrouvant le plaisir premier de la création. J’ai rempli beaucoup de carnets pendant mon temps libre. Petit à petit les rencontres qui te font évoluer arrivent et avec internet l’accès à tout un tas d’artistes absents des médias officiels a vraiment été plus facile, ça a été stimulant. J’étais hyper enthousiaste et j’ai appris la peinture à l’huile chez moi, en autodidacte.


    - B!B!: On retrouve dans tes toiles des figures humaines ou hybrides et des objets de notre quotidien qui côtoient le bizarre et le mystérieux. Peux-tu me parler de ce que tu veux faire ressortir dans chacune de tes séries de tableaux ?


    - VD: J’ai deux séries en cours « Fantasmagories » et « Unportrait » mais elles sont en train de fondre entre elles.

    Explorer les objets, oui,  surtout ceux qui influent directement sur nous, qui sont comme des prothèses: lunettes, écouteurs…

    Par exemple pour Ikéa Blues, le tableau s’est construit autour de ce petit coussin que je voyais partout: dans les salles d’attente, chez les amis, chez moi… c’est devenu une sorte de symbole. J’ai lu récemment Life begins at the end of your comfort zone, (La vie commence où s’arrête ta zone de confort). C’est à peu près ça, Ikéa blues! En rose.

    Pour Duck Face Syndrom c’est la « bouche canard », la métamorphose du bistouri: à la base il y a une photo postée sur un blog. Passer d’une image numérique, elle-même influencée par des images médiatiques, à un tableau, c’est aussi jouer avec des codes, questionner notre rapport aux images et au corps d’aujourd’hui.​

    A mes yeux les toiles et les dessins sont comme des supports propices à de nouvelles associations d’idées, à des divagations. La peinture permet cet échange immédiat avec un spectateur et sa sensibilité, et c’est aussi ce qui me plaît dans ce medium.


    B!B!: Quel est ton rapport avec la peinture?​

    - VD: Passionnel… Le fait que tu sois tout le temps en équilibre, c’est ingrat et plaisant. Je rate et je détruis assez souvent. Il a fallu apprendre à mettre beaucoup de travail à la poubelle. J’aime aussi suivre d’autres artistes, de tous bords.​

    Quelques mots que j’aime en peinture: énergie, mystère, force, délicatesse, écorchures, vivacité…


    - B!B!: Comment t’y prends-tu pour réaliser tes œuvres (quels outils, quels matériaux et quels supports)?

    - VD: L’huile principalement. Pour la densité des couleurs. Au fil des sessions j’essaie d’ouvrir des brèches pour les accidents, le hasard. Je travaille par couches, comme des calques, en plusieurs étapes. Masquer, démasquer, tenter de capter quelque chose…

    À d’autres moments ce qui me passe sous la main me va aussi: marqueurs, fusains, encres, photoshop, café…


    - B!B!: Quels sont les artistes que tu aimes, qui t’ont inspirés sur ton parcours, d’où tires-tu ton inspiration?

    - VD: Sans trier: Soutine, Caravage, Brueghel, Bacon, Frida Kahlo. J’étais aussi fan des mains d’Egon Schiele. Dans les contemporains: Michaël Borremans, Paco Pomet, Micallef, James Jean, Laurie Lipton, Conor Harrington, Cecily Brown, Banksy, Jenny Saville, Annette Messager… le mouvement DIY: « do it yourself », les cabinets de curiosité: j’aime que les œuvres me « contaminent » , les artistes qui osent, et arrivent à créer un échange, vivant, incisif, provocant et poétique.

    En général, je créé à partir d’anecdotes qu’on me raconte, un souvenir, une sensation, un reflet, un regard. Chacun de nous a une mémoire spécifique, pas du tout objective, que je souhaite retranscrire en plus des émotions personnelles, des images inconscientes, de l’humeur du moment.

    Je collectionne aussi beaucoup d’images, de plantes, des photos de microscope, des portraits, des schémas scientifiques, j’imagine que c’est un mélange de tout ça.

    Les atmosphères noctambules sont plus inspirantes, mais ça peut aussi bien se passer dans le métro à l’heure de pointe. Il n’y a pas vraiment de règles…  Même quand je dors j’ai l’impression que je continue de peindre.




    Vanessa Dakinsky, par Yan Arexis :

    « Les toiles de Vanessa Dakinsky, avant de vous laisser des stigmates jouissifs, sont des hameçons rétiniens.
    Une éclosion qui vous absorbe. On croit y trouver des arômes de surréalisme pop quand par surprise on réalise que ses oeuvres ont l'allure d'une grande dame d'Espagne. On imagine sa peinture vive, entre deux maîtres néoclassiques. Elle y aurait sa place. Elle parle la même langue, dans un langage d'aujourd'hui. (...) On aime son instinct, sa peinture qui s'adresse à nous sans snobisme. Une peinture généreuse, virtuose. »

    PUBLICATIONS

    Beautiful and Bizzare Magzine (June issue / 2014) / Empty Kingdom / My Modern met / Saatchi online (art of the day) / fffffound / Trend Hunter / Doux Mag / Neuroblasto Mag / Galerie Jeunes Artistes / Supersonic Electronic art / This is so contemporary / etc.






    Collective edition and exhibition

    • Le Rex, Saint Rémy de Provence, France (Galerie David Ménard) - 2015
    • Atelier La mèche à Borderouge - Toulouse, France - 2015
    • Exposition Hors-sol à l'espace Apollo - Mazamet, France - 2015
    • Académie de dessin - Toulouse, France - 2015
    • Médiathèque José Cabanis et Clutch - Toulouse, France - 2015
    • Nuages Carrés - Exposition solo à l'occasion de la parution du portfolio dans le magazine culturel toulousain Clutch. (Solo exhibition with Clutch cultural magazine and publication of the portfolio.) - 2014
    • Exposition collective / peintures UOYEVOLI , avec 'house of Bergen' / Dronningens Gate 22, Oslo, Norway - 2014 ('House of Bergen' presents a collective show at Dronningens Gate 22, Oslo)
    • Les Pavillons Sauvages / Sortie du fanzine Renards / Renardes des Editions terriennes - Toulouse, France - 2014
    • Atelier 67 Borderouge, showroom de LSDC - Toulouse, France - 2014
    • Expo de dessins avec le collectif Herz'hyenne - Toulouse, France - 2014 (drawing exhibition with Hertz'hyenne)
    • Insight out Solo Exhibition - Bergen, Norway - 2014
    • Ossuaire, exposition proposée par Imagora / Festival Indélébile- Toulouse, France - 2014
    • Exposition collective en hommage à Frisa Kahlo avec Iseamonster collective, Hashtag Gallery, Toronto, Canada - 2013 (Exposition collective / Réinterprétation de "the wounded deer" de Frida Kahlo)
    • Galerie les Insoumis, France, Montbrison
    • Galerie Martagon, Malaucène, France, 2013
    • Festival Rio Loco, Toulouse, France - 2012
    • "Made in Toulouse", Toulouse, France - 2012
    • Peintures et dessins récents avec Lou Ros(Recent paintings and drawings with  Lou Ros), Folkestone, UK, Space Seven Galery - 2012
    • Exposition collective organisée par Goblin Mag au Centre Bergen Kjott. Bergen, Norway - 2012
    • Peintures et dessins récents, avec Clémence Gastan (Painting and drawing exhibition . Recent works with Clémence Gastan), Bonnefont, France - 2012
    • Galerie Susini, Aix, France - 2012
    • Creative shop Amusement, Collective exhibition with Apadanart, Paris, France - 2012
    • Art affair Galery, Summer salon with Barbara RAPP, Regensburg, Germany - 2011